Les sables rouges et le soleil incandescent du Kalahari marqueront la fin de ce périple si particulier, si riche en rencontres et en découvertes surprenantes, comme un symbole de cette terre ancienne qui fut le témoin de nos origines, celles de l’espèce humaine lorsque celle-ci était encore confinée sur le continent africain.
« Le monde ne mourra jamais par manque de merveilles mais uniquement par manque d’émerveillement », écrivait Gilbert Keith Chesterton. De merveilles, la Namibie n’en manque pas, au point de représenter un espoir formidable pour notre monde tant ce pays force l’émerveillement.
Au revoir Namibie !